BUDDHOPHOTO

La photo et le bouddhisme

 

 

 

 

La science postmatérialiste s'intéresse à la spiritualité, la méditation, la conscience élargie, et comment ces pratiques peuvent influencer la santé mentale et physique.

 

 

 

L'équanimité, un concept central dans le bouddhisme Mahayana, Vrajayana et Theravada, est une qualité fndamentale dans la pratique bouddhiste.

 

 

 

La concentration implique de canaliser toutes les énergies positives de l'esprit en un seul point focal, et la maîtrise de la concentration consiste à diriger ce point focal selon notre volonté.

 

 

 

L'éveil ne devrait pas être considéré comme un objectif à atteindre, mais comme un état naturel auquel nous devrions nous familiariser, tout comme la bienveillance, car il réside en chacun de nous.

 

 

 

Avalokiteshvara revêt de nombreuses formes différentes. Dans le bouddhisme tibétain, les deux formes les plus célèbres sont Chenrezig aux mille bras et aux mille yeux, et Chenrezig aux quatre bras.

 

 

 

La pratique des tantras par les débutants adeptes du bouddhisme est une progression vers la vacuité. Le vajrayāna offre une voie directe vers l'éveil, contournant ainsi les étapes progressives du theravāda ou du mahāyāna.

 

 

 

L'identification au soi est inévitable tant que persiste "l'illugnorance". L'illusion consiste en ce que notre soi existe. L'ignorance en ce que ce soi est permanent. Tout nous le fait croire.

 

 

 

Pour le boudhiste, la souffrance (Doukka) est liée à la croyance en un "soi" ou en une identité personnelle.

 

 

 

L'humain a développé des réflexes pour perpétuer son bagage génétique au cours de son évolution. La méditation aide à prendre conscience de ces "instincts" parfois problématiques dans le contexte moderne.

 

 

 

La méditation peut résoudre les problèmes qui entravent sa pratique ( inattention, intrensigence,...), et parfois, ces défis se transforment en avantages.

 

 

 

Les Siddhis sont évoqués dans le Yoga-Sûtra de Maharishi Patañjali. Par un de ces Siddhis, on atteint un des huit pouvoirs principaux; la lévitation.

 

 

 

L'approche de la folle sagesse implique que les maîtres spirituels adoptent des comportements inhabituels voire choquants pour provoquer l'éveil spirituel chez leurs disciples.

 

 

 

La contemplation de cadavres ou de charniers est une pratique méditative ancienne. L'art contemporain en tire du matériel créatif en arts visuels.

 

 

 

Dans la tradition bouddhique, la Sangha, ou communauté spirituelle, est le "troisième élément précieux". Elle se divise en trois niveaux : l'arya-sangha, la bhikkhu-sangha et la maha-sangha. Une Sangha peut être formée par un petit groupe de pratiquants.

 

 

 

Notre perception de la réalité peut façonner notre expérience, y compris notre culture qui peut influencer nos idées. C'est pourquoi la neuro-art-histoire (Onians, 2007) est une approche séduisante pour comprendre l'art.

 

 

 

Après l'arrêt du cœur, le processus de décès se poursuit jusqu'à l'expérience de la claire lumière ou éveil. La durée est de quelques heures à quelques jours. Pendant cette période, il est essentiel de ne pas déplacer la dépouille.

 

 

 

Tout dans l'univers entier est soumis au changement. Au niveau sub-atomique, dans un espace un million de fois plus petit que l'atome, de l'énergie se transforme en matière quantiquement. Voilà l'impermanence.

 

 

 

Vérité ordinaire, vérité ultime: « Si l'on croit que c'est vrai, c'est faux ; si l'on sait que c'est faux, alors c'est vrai.» (paramārtha-satya).

 

 

 

Le moral varie en fonction de notre réflexion sur le passé, le futur et le plaisir. Des pensées qui sont façonnées par nos souvenirs, nos projections et notre égo. La méditation sur le moment présent est essentielle, car c'est le seul endroit où notre existence véritable peut se manifester, en harmonie avec toutes les autres formes de vie.

 

 

 

La vacuité est un outil mis à la disposition du méditant pour ne pas s'écarter de la visión juste des formes et des phénomènes. Une musique, un chant, la signification d'un titre et des paroles (s'il y en a), ne sont pas là pour capter notre attention.

 

 

 

Le Bouddha de Médecine purifie nos actions, nos émotions et les empreintes karmiques en nous, éliminant ainsi les causes des maladies et des comportements compulsifs.

 

 

 

Le courant philosophique atomisme (si scientifique) est balayé par le vaisheshika hindouiste. Atome signifie indivisible. Donc sans parties. Donc sans étendue. Une somme d'éléments sans étendue ne peut faire une étendue.

 

 

 

La notion d'Être universel, stipule que la connaissance lie le sujet et l'objet de contemplation. L'idée même de contempler les unit. Il n'existe dèslors plus de dualité. Seul règne l'interdépendance.

 

 

 

Affirmer que la conception d'une conscience est intrinsèquement pure n'est pas une notion naïve sur la nature humaine. Cette affirmation est basée sur le processus de réflexion et la vue profonde introspective.

 

 

 

Dans le moment présent, libérés de toute emprise du passé et de l'avenir, lorsque nous nous abandonnons à la vue profonde, la liberté se déploie. Les pensées susceptibles de nous déranger émergent et se dissipent sans laisser de trace.

 

 

 

La littérature bouddhiste du canon pâli ne traite pas spécifiquement de la médecine, mais elle évoque tout de même une cinquantaine de maladies. Certaines sont simplement mentionnées par leur nom, d'autres par leurs symptômes et d'autres encore par leurs traitements.

 

 

 

Accepter l'impermanence est difficile à cause de nos peurs, qui nous bloquent. La peur se cache derrière le changement, l'inconnu. Pour l'éviter, il faut comprendre que la peur est humaine, mais elle ne doit pas nous définir. La peur, comme toutes nos émotions, est une de nos inventions.

 

 

 

Au Tibet, les sons influencent fortement les êtres vivants: guérison, impact négatif, protection, prospérité, épreuves, apaisement, corruption, purification, captivation, libération des attachements terrestres.

 

 

 

La récitation de mantras trouve son origine dans une dévotion au Boudha, la Sangha et le Dharma. La vibration même des cordes vocales aide à la concentration et a un effet bénéfique sur la santé.

 

 

 

Les 4 éléments qui composent la vie. La souffrance, inévitable à notre existence. L'impermanence, qui nous dit que tout est sujet à un changement. L'interconnexion, qui abolit la distinction entre le "moi" et le "toi". La méthode qui nous guide vers la félicité.

 

 

 

Avec l'ego, on se réfère à l'ignorance de notre vrai moi, qui est à l'origine du cycle des renaissances cycliques. C'est aussi l'égoïsme qui entrave notre capacité à développer un amour inconditionnel, de la compassion et de la Bodhicitta (altruisme).

 

 

 

La colère est perpétuellement néfaste. Selon Shantidéva, un érudit bouddhiste du 8e siècle, la colère est considérée comme le pire poison, capable de réduire en cendres tous les progrès positifs que nous avons réalisés avec tant d'ardeur. Elle nous ôte toute sagesse et bienveillance.

 

 

 

Dans le bouddhisme, la bienveillance (maitrî), est la volonté de créer le bonheur pour tous les êtres. De même, la compassion (karunâ), consiste à chercher à libérer tous les êtres de la souffrance. Une méditation est toujours faite pour le bien-être de tous.

 

 

 

Le karma représente les répercussions de nos actions passées qui persistent d'une vie à l'autre. En nous réincarnant, nous portons les conséquences de nos vies précédentes. La métaphysique ne partage pas la notion de réincarnation. Le bouddhisme et l'hindouisme oui.

 

 

 

Dix actes sont vertueux dans le bouddhisme. Ne pas voler, tuer, se droguer, médire, mentir, semer la zizanie, ne pas avoir une vie sexuelle juste, ne pas se réjouir du bonheur d'autrui, ne pas assister un malheureux, ne pas avoir des propos futiles.

 

 

 

Selon le Dharma, il faut lâcher prise face au changement. Ne pas s'accrocher aux expériences positives ou négatives. En comprenant que tout est impermanent, notre attachement diminuera. L'attachement est une des racines de la souffrance.

 

 

 

Selon le Dharma, le désir insatiable de posséder ou d'être toujours davantage est perçu comme un poison, une "maladie". C'est ce désir qui est considéré comme une des racines de notre souffrance.

 

 

 

La vacuité ne renvoie pas au néant absolu ou à une absence totale de réalité. En fait on fini par percevoir la nature réelle des formes et des phénomènes. La vacuité est considérée comme une clé essentielle pour atteindre l'éveil et se libérer du cycle sans fin des renaissances.

 

 

 

Une attention juste et une concentration juste sont indispensables pour méditer. Suivez votre souffle en comptant les inspirations et expirations. Ne suivez pas vos pensées. Le calme mental apparaîtra.

 

 

 

La quatrième Vérité Noble se réfère à la Voie, qui nous guide de la souffrance à la cessation de celle-ci. Cette Voie est représentée par l'Octuple Sentier, qui implique principalement la cultivation de la vertu, de la sagesse et de la concentration.

 

 

 

La troisième Noble Vérité affirme que la cessation du dukkha est possible. Ce mal être peut être transcendé et éliminé. Il n'est pas une réalité permanente, mais plutôt une expérience temporaire dont nous pouvons nous libérer mentalement et émotionnellement.

 

 

 

La deuxième Noble Vérité révèle que la source de cette souffrance est la quête égocentrique (tanhā). Cette soif ou désir avide engendre dukkha. Il peut s'agir de la recherche de plaisirs, du désir de devenir, de l'envie de s'identifier.

 

 

 

La première Noble Vérité est que la souffrance (dukkha) existe. Ce "mal-être" peut se manifester de différentes manières, allant de l'inquiétude intense à la simple compréhension que le bonheur que nous éprouvons est éphémère.

 

 

 

La compassion n'est pas vivre pleinement la souffrance de l'autre. Avoir de la compassion, c'est voir les multiples solutions à la disposition de quelqu'un pourqu'il s'en sorte, et de les lui montrer, et surtout de le laisser faire à sa façon.

 

 

 

Dharma peut être traduit par action, loi, sentier, ... Le considérer comme le tripitaka; le corps, la parole et l'esprit du ou des Boudhas est une vue personnelle.

 

 

 

Dans le christianisme, seul la scolastique durant le Moyen-Âge, pouvait répondre aux préceptes de la métaphysique. L'aspect individuel et sentimental d'une religion au détriment de l'aspect intellectuel l'empêche d'avoir une démarche métaphysique.

 

 

 

La métaphysique est la base de toute spiritualité. Les doctrines orientales intègrent les tenants et aboutissants de la métaphysique. 

 

...quand on parle de l'objet de la métaphysique, on ne doit pas avoir en vue quelque chose de plus ou moins analogue à ce que peut être l'objet spécial de telle ou telle science. C'est aussi que cet objet doit toujours être absolument le même, qu'il ne peut être à aucun degré quelque chose de changeant et de soumis aux influences des temps et des lieux ; le contingent, l'accidentel, le variable, appartiennent en propre au domaine de l'individuel, ils sont même des caractères qui conditionnent nécessairement les choses individuelles comme telles, ou, pour parler d'une façon encore plus rigoureuse, l'aspect individuel des choses avec ses modalités multiples. Donc, quand il s'agit de métaphysique, ce qui peut changer avec les temps et les lieux, ce sont seulement les modes d'exposition, c'est-à-dire les formes plus ou moins extérieures dont la métaphysique peut être revêtue, et qui sont susceptibles d'adaptations diverses, et c'est aussi, évidemment, l'état de connaissance ou d'ignorance des hommes, ou du moins de la généralité d'entre eux, à l'égard de la métaphysique véritable ; mais celle-ci reste toujours, au fond, parfaitement identique à elle-même, car son objet est essentiellement un, ou plus exactement « sans dualité », comme le disent les Hindous, et cet objet, toujours par là même qu'il est « au delà de la nature », est aussi au delà du changement : c'est ce que les Arabes expriment en disant que « la doctrine de l'Unité est unique ».
René Guénon

 

 

 

La notion d'identité légale est une construction socio-économique qui fomente l'égoïté et nous appauvrit spirituellement.

 

 

 

La réalité ultime reste claire dans son ultime apparence et n'a besoin ni de "filtrage" ni de "rinçage". En somme, on n'a pas besoin de "pompe" non plus; les formes et les phénomènes sont en perpétuel changement.

 

 

 


Les émotions, positives comme négatives sont des perturbations mentales. Aux positives on s'y attache et on pense qu'elles seront permanentes. Les négatives on les refuse et on en éprouve de la colère.

 

 

 

La notion de temps appartient au manifesté mais pas directement à l'inmanifesté. C'est une notion de l'Être et donc conditionné, et dèslors dépendant de causes et de conditions. On peut le considérer comme indéfini.

 

 

 

En métaphysique, il existe le possible et le compossible. L'être et le non-être sont possibles et compossibles. Ils passent à l'acte mais pas ensemble. Ils peuvent le faire en même temps ou pas.

 

 

 

Tantra: continuité, chaîne, courant, maille, enchaînement, lignée, lignage. La pratique tantrique nous enseigne la méditation sur le résultat, plutôt que sur les causes de l'esprit d'éveil.

 

 

 

De toute création, ô Arjuna, Je suis le début, le milieu et la fin. D’entre toutes les sciences, Je suis la science spirituelle du soi, et de l’argumentation logique, la juste conclusion. (L'opulence de l'Absolu. Bahgvad Gita)

 

 

 

«Après avoir achevé la Création, Dieu se demanda où cacher les secrets de l'univers. Le Tout-Puissant refléchit : devrais-je les cacher au fond de I'ocean? Non, les humains peuvent inventer des sous-marins et ces secrets tomberont dans les mains de gens qui ne les meritent pas. Devrais-je les cacher aux confins de l'univers? Pas bon non plus; les humains peuvent développer des vaisseaux spatiaux et les secrets peuvent tomber dans de mauvaises mains. Alors, une idée vint à Dieu: les secrets de I'univers peuvent être cachés à I'intérieur de I'esprit humain, au plus profond de son âme. Ainsi, seuls les valeureux peuvent les trouver. » (Ancien conte, cité par Strassman)

 

 

 

Bouddha debout.

 

 

 

Le refuge (dans le Bouddha, le Dharma et la Sublime Sangha) commence la séance de méditation et se prolonge aux rappels méditatifs pendant la journée. Ce triple refuge est comme un imperméable face à "la pluie samsarique

 

 

 

Plus les tenants et les aboutissants d'une situation, fait, circonstance, objet, attitude, état de fait, vous semblent précis, plus vous vous rapprochez de la dualité et vous éloignez de la réalité ultime de ceux-ci.

 

 

 

Nous sommes constitué de cinq agrégats: notre forme, sensations, perceptions, émotions, volitions plus notre mental. Tout cela a été mis en place par notre égo. Seul notre conscience est réellement et ultimement nous.

 

 

 

Dans notre conscience, l'égo n'y occupe qu'une petite partie insignifiante. Par contre il nous gouverne dans la souffrance et l'ignorance de notre vie samsarique. Contemplons cette conscience et vivons la vacuité. Voilà la méditation vipassana.

 

 

 

Comme dans une vague, dans notre vie, tout apparaît et tout disparaît. Laissons-nous aspirer par cette vague.

 

 

 

Vipassanā, vue profonde, vue de l'intérieur, vue inspectrice. "Voir" l'interdépendance et la causalité des formes et des phénomènes nous aide à nous percevoir sans égoïté et induit la non souffrance. Voilà la méditation Vipassanā.

 

 

 

Un des quatre Maras est Kleshamara, le Mara des aflictions comme le manque de confiance, le manque de clarté ou l'hésitation, le manque de vue juste ou toute autre perturbation mentale. En cultivant la vacuité et la non-dualité on le pare.

 

 

 

On accorde toute son importance au passé (souvenirs) et d'autant plus au futur (attentes). On néglige toujours le moment présent, alors que ce dernier est le seul qui existe et sa véracité est souvent voilée.

 

 

 

 

Le fait de voir est dépendant du sujet, de l'objet et de la conscience (ici la vue). Les trois interagissent les uns sur les autres et agir sur l'un influence les autres. La méditation elle agit sur la conscience.

 

 

 

 

En visualisant Boudha de Médecine devant soi et soi-même Boudha mais en miniature, on peut les transposer sur une zone douloureuse à soi, ou sur atrui (par imposition des mains) et obtenir une guérison.

 

 

 

 

Dans le samsara les lieux de vie, les amis, les bonheurs, les possessions nous tourmentent en permanence de trois types de souffrances. Ils sont ainsi comme les festivités offertes par le bourreau qui nous conduit au lieu d’exécution. Ayant tranché les liens de l’attachement, je vais pratiquer pour l’éveil avec diligence. (Soutra de la noble voie)

 

 

 

L'impermanence est une loi universelle. Une journée qui commence bien ou mal, doit être vue avec equanimité et resté telle qu'elle est, grâce à la vue juste et à l'impermanence.

 

 

 

Le flux des pensées est gênant pour méditer. Pour fortement les neutraliser, on peut les contempler sans les suivre. Percevez comment elles naissent et elles meurent. Concentrez-vous sur ces deux moments-là.

 

 

 

Les grands érudits expliquent que l’ordre du renoncement [sannyāsa] commande de rejeter les actes motivés par le désir matériel. Quant au renoncement [tyāga], disent les sages, il consiste à abandonner les fruits de ses actes.

 

 

 

"Om hum tram hri ah abhikentza hum". Initiation à la fase d'identification du Bouddha de médicine après visualisation de soi en tant que Boudha, Boudha en face de soi et dissolution des divinités de sagesse.

 

 

 

Karma signifie action ou acte en sanskrit. C'est le karma qui détermine nos actes ou nos actions. En définitive c'est lui qui régit notre vie. Il nous fait "payer" ou "jouir" dans notre parcours de vie.

 

 

 

Selon les enseignements du Bouddha Shakyamuni consignés dans le Soutra de l'entrée dans la matrice, les maladies sont divisées en quatre classes. La première comprend des maladies relativement bénignes dont on se remettra, que l'on prenne ou non des médicaments.
La deuxième concerne des maladies plus sérieuses, voire graves, mais dont la guérison reste encore possible à condition de prendre les remèdes appropriés. De nos jours, nous avons le choix entre de nombreuses procédures médicales modernes et efficaces, telles que l'acupuncture, la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, etc.
La troisième s'applique aux maladies qui ne répondent à aucun remède thérapeutique, celles dont on ne se remettra pas en utilisant de simples médicaments ou autres traitements médicaux. Il reste cependant possible de les soigner - et donc de recouvrer la santé - par la pratique de techniques spirituelles appropriées enseignées dans le Bouddhadharma.
La quatrième classe de maladies englobe celles qui possèdent une nature terminale irréversible déterminée par le karma. Lorsque le corps manifeste une telle maladie, la mort est inévitable et, quelle que soit la quantité de remèdes ou la procédure médicale employées, rien ne pourra la prévenir. En fait, dans ces cas-là, l'usage de médicaments - à l'exception des narcotiques contre la douleur- ne sert qu'à accroître les souffrances.
Les enseignements du Bouddha de médecine s'adressent plus particulièrement à ceux qui souffrent de la troisième classe de maladies, maladies pour lesquelles on n'a pu trouver de traitement thérapeutique adéquat, mais auxquelles on peut encore remédier par la pratique des profondes techniques spirituelles.

Le Bouddha de médecine se montre aidant pour les quatre classes de gens souffrant. (Lama Thast Namgyal)

 

 

 

Imaginez une soirée entre amis et une migraine survient. La soirée et les amis deviennent en une seconde déplaisants. C'est pareil avec nos émotions négatives. Le fautif est notre esprit ignorant qui ignore le principe d'impermanence et l'attachement.

 

 

 

Avec les tantras (vajrayāna) on a une voie rapide ouverte pour atteindre l'éveil en une vie. Le principe, expliqué de façon simple, est de se "transcender" en un Boudha de son choix et de faire tout ce que doit faire ce Bouddha.

 

 

 

Les 6 paramitas sont la générosité, l'éthique morale, la patience, l'énergie enthousiaste, la méditation et la sagesse. N'importe qui peut appliquer ces cinq valeurs, et méditer. Nous méditons tous les jours sans nous en rendre compte.

 

 

 

«Ce qui est impermanent fait souffrir.» L'esprit se fatigue de passer d'apparitions à disparitions. Notre journée est faîte de ça. Notre vie. Le savoir nous évite l'ignorance.

 

 

 

Tout de notre parcours de vie, et des vies antérieures, reste dans le Continuum de notre conscience qui elle n'a ni de début ni de fin et en plus n'a pas de causes et donc pas d'effets. Cet âme est un disque dur avec une capacité illimité. Elle a tout enmagasiné depuis notre première renaissance lors du Big Bang. Elle existait même avant cet événement lorsque l'univers solaire n'existait pas encore.

On croirait qu'un enfant est innocent et vierge de tout et sans défense mais son âme est omnisciente et claire... bien davantage que la nôtre.

 

 

 

La tendresse est de la bienveillance. . L'action de se montrer tendre et aimant face à quelqu'un qui nous a fait un sale coup c'est de l'aimer pour ça. Cela nous donne une occasion de mettre à l'épreuve l'amour inconditionnel et de susciter le pardon chez notre lui.

 

 

 

De tous les sacrifices, celui qu’on accomplit par devoir, et sans en attendre aucun fruit en retour, participe de la vertu. (Bhavgad Gita)

 

 

 

Les contes indiens donnent vie à des objets inanimés qui on pour effet de décrire la sagesse.

 

 

 

Un télescope ou un microscope peuvent vous faire voir des mondes inimaginables et réels. Voilà la contemplation qu'on réalise avec la méditation, la concentration et l'application justes.

 

 

 

Un jour, un homme vint voir un sage et lui demanda: Maître, que dois-je faire pour acquérir la sagesse ? Le sage ne répondit pas. Ayant répété plusieurs fois la question sans résultat, l'homme se retira. Mais il revint le lendemain et fit la même demande: Maître, que dois-je faire pour acquérir la sagesse ? Toujours pas de réponse. Il revint le troisième jour en répétant encore: Maître, que dois-je faire pour acquérir la sagesse ? Finalement, le sage se dirigea vers une rivière, et, entrant dans l'eau, pria l'homme de le suivre. Arrivé à une profondeur suffisante, il le saisit par les épaules et le maintint sous l'eau, en dépit des efforts qu'il faisait pour se libérer. Au bout d'un moment, le sage le relâcha, et quand l'homme eut à grand-peine retrouvé son souffle, le sage lui demanda : Dis-moi, quand tu étais plongé sous l'eau, quel était ton suprême désir?Sans hésitation le jeune homme répondit: De l'air, de l'air! J'avais besoin d'air!

-N'aurais-tu pas préféré la richesse, les plaisirs, la puissance ou l'amour? N'as-tu songé à aucune de ces choses?

-Non, Maître, j'avais besoin d'air et ne pensais qu'à cela. - Eh bien, reprit le sage, pour acquérir la sagesse, il faut la désirer aussi intensément que tu désirais de l'air, il y a un instant. Il faut lutter pour elle à l'exclusion de toute autre ambition dans la vie. Elle doit être ta seule et unique aspira- tion, nuit et jour. Si tu cherches la sagesse avec une telle ferveur, un jour, tu la trouveras.

Conte extrait de Jean-Claude Carrière, Le Cercle des menteurs. Contes philosophiques du monde entier (Pocket, 2010)

 

 

 

Le passé comme le futur est une construction parfaite de notre conscience relative. Celle qui a construit aussi notre égoïté et le temps. Seul existe le moment présent car celui-la on peut le contempler.

 

 

 

 

L'ennemi de la méditation sont les pensées. Il est simple de les neutraliser: imaginez que vous regardez un film très captivant mais que vous décidez de faire dos au film et que vous regardiez l'équipe technique qui tourne. Le film n'a plus d'intêret.

 

 

 

L'ignorance consiste en ce que on a une image de soi solide. Lorsque surviennent une pensée, une émotion ou un événement, on est conscient de ce qui se passe. Mais cette image de soi est transitoire et, dans notre confusion, nous la prenons pour la réalité.

 

 

 

La compassion est avant tout une joie incommensurable. C'est la nature-de-Boudha ou tathagatagarbha que nous avons tous. Nous rejoingnerons un jour des êtres comme Milarepa, Marpa ou Manjushri.

 

 

 

Question: dites moi les deux pires choses qui puissent vous arriver. Réponse: la mort de mes enfants et ma propre mort. Pourtant il n'y a qu'en mourant qu'on peut atteindre l'éveil en 49 jours. La sagesse veut qu'on ne craigne pas la mort.

 

 

 

La patience est la vertu essentielle dans la voie de l'éveil. Elle est la non-réaction et pas l'attente du moment opportun. Vous avez une armure et vous ne réagissez pas, ni face au plaisir, ni à l'adversité.

 

 

 

3 objets (amis, enemis, neutres). 3 poisons (passion, agression, ignorance). 3 racines de vertu (absence de passion, absence d'agression, absence d'ignorance). Chögyam Trungpa.

 

 

 

Une explicitation de la pensée d’inspiration phénoménologique d’Emmanuel Lévinas montrera qu’être victime a un sens. Au-delà d’une signification courante et historique, la condition de victime reflète le fait que la conscience, caractérisée par sa nature extrêmement sensible, passive et vulnérable, est otage d’elle-même. Prisonnière de son être physique et en même temps obsédée par autrui, elle est enfermée en elle-même et aussi ouverte à tous les vents. (Muriel Briançon)

 

 

 

La notion d'existence d'un soi est une construction de l'égo. Exister ne peut se faire qu'en solitude. C'est grâce à l'intégration de la non-dualité que nous intégrons l'altérité et l'existence de l'autre. C'est ainsi que la bienveillance et la compassion peuvent s'installer.

 

 

 

L'équilibre, la symétrie, la beauté, le déséquilibre, la dissymétrie, la laideur sont des concepts et des phénomènes impermanents. La sagesse, pour pas voiler la vue juste, veut que l'on ne s'y attache pas.

 

 

 

Une partie de nos cinq agrégats passe de nous à nos enfants. Seul l'âme ne passe pas à notre descendance. Elle ne se perd jamais non plus même lors de l'éveil.

 

 

 

Le donner-recevoir (tonglen) est une pratique tibétaine qui vous changera en bien. Elle est simple et très efficace à long terme. Il s'agit de donner du bon et de recevoir du mauvais. L'astuce c'est de le faire avec compassion.

 

 

 

Le moment présent est très subtil. On le voit pas, on l'entend pas... Mais il est là. Non... ce n'est pas ce que vous voyez devant vous. Le moment présent c'est la réalité qui permet que tout puisse exister en ce lieu, en cette seconde, de telle sorte, en même temps et en interdépendance. Voilà ce moment.

 

 

 

Quand un projet ne se réalise pas comme attendu, ou qu'il tourne mal, ou qu'il rate, ces trois possibilités et bien d'autres existaient déjà. C'est cela qu'on appelle le changement ou l'impermanence ou le pouvoir du moment présent.

 

 

 

Gate gate pāragate pārasaṃgate bodhi svāhā. Aller, aller, aller au-delà, au-delà du par delà, vers la rive de l’Eveil.

 

 

 

Quand vous parvenez à la concentration, l’esprit peut se vider au point que vous perdiez toute notion du temps. Pour cette raison, il n’est pas souhaitable de vous fixer une durée maximum quand vous vous asseyez pour une séance de méditation.

 

 

 

L'attention dans la meditation est une vigilance constante. Sans elle la concentration ne peut s'installer. On est vigilant face au comment on observe, pourquoi on observe, qui observe et qu'est-ce qu'on observe. C'est une vigilance "remémoratrice".

 

 

 

La méditation est impossible sans une concentration. Sans elle on fait de la réflexion, ou de la relaxation, ou du discursif. Se concentrer c'est mettre en un seul point un minimum conséquent des énergies qui nous traversent. Cela ne demande pas d'effort.

 

 

 

Le non né, l'incréé, le sans racine, le néant,.. toutes ces méditations sont vaines si elles se font en visant un but. Un accomplissement. Un bienfait. Toute méditation doit seulement se réaliser pour observer son esprit et le voir s'appaiser.

 

 

 

La haine est similaire à l'amour non-inconditionnel. C'est comme boire de l'eau salée; elle nous donne encore plus soif. C'est comme le vers à soie et son cocon; elle nous enferme dans notre propre prison.

 

 

 

Une pratique trés efficace pour "sabrer" l'égo est de considérer toute situation comme onirique. Comme dans un rêve tout apparaît et tout disparaît. Cela n'enlève rien à la solidité des choses mais cela démonte l'égoîté.

 

 

 

L'image de la mère nous sert bien pour développer la bodhichitta. Pour le bien de tous les êtres il faut éprouver de la gratitude pour tous les êtres. Même notre ennemi a pû etre notre mère dans d'autres rennaissances.

 

 

 

Le Bouddha de Médecine Sangyé Menla nous soigne d'abord nous avant de soigner les gens qui dépendent de nous. Nous avons chacun la nature de Bouddha. Ce qui veut dire qu'on est soi-même notre propre Sangyé Menla.

 

 

 

Compassion ou bienveillance ou les deux ensembles envers les autres ? Laquelle avant l'autre ? Question difficile et réponse d'autant plus. Cultivons en nous la notion de "plaie ouverte". Elle nous rappellera qu'il faut être bienveillant et avoir de la compassion envers autrui

 

 

 

Sache, ô fils de Pāṇḍu, qu’on ne peut séparer le yoga, la communion avec l’Absolu, du renoncement, car nul ne peut devenir un yogī sans abandonner tout désir de jouissance matérielle.(Bhavgad Gita)

 

 

 

Des recherches en mécanique quantique ont prouvé qu'un quanta peut "vivre" deux états différents en même temps et en des lieux différents. Un quanta c'est de l'énergie. Absolument tout sur terre et dans l'univers est fait de quantas. On peut déduire qu'il existe des espaces et non qu'un seul espace.

 

 

 

La conscience, la lumière blanche, l'esprit... scientifiquement cela porte un nom: énergie, énergie quantique, physique quantique. Il existe des mondes parallèles. Il n'y a pas qu'une seule réalité; celle que nous vivons.

 

 

 

La notion du néant engendre la pitié.La pitié abolit la différence entre soi et les autres. La confusion de soi et des autres réalise la cause d'autrui. (Milarepa)

 

 

 

« Ceux qui s’abandonnent aux plaisirs des sens s’attachent à la sensualité. C’est là la cause d’une chute dans les destinées malheureuses. Et il est rare de voir le sens de la réalisation tant sont nombreux les risques de déviation ».Longchenpa

 

 

 

« Ô moines, voici la vérité des Nobles sur l’origine de la souffrance. C’est la soif qui produit la renaissance, le redevenir, qui est liée à unea vidité passionnée et qui trouve un nouveau plaisir ici ou là, c’est-à-dire la soif des plaisirs des sens, celle de l’existence et du devenir etc elle de la non-existence. »

 

 

 

Face à un defi, une mauvaise passe, un coup dure, le principe de certitude d'une solution favorable nous est acquis si nous réagissons de façon proactive (et non réactive), et que nous sommes la cause de cette certitude et non l'effet.

 

 

 

Notre conscience a déjà eu des milliers de millards de renaissances depuis le big bang qui a 14 millards d'années. Après notre mort il y a peu de chance qu'on renaisse humain. Profitons de cette vie pour purifier notre karma et ne pas renaître moustique dans un monde insecticide.

 

 

 

L'odorat d'un chien est 300 fois plus fin que le nôtre. Imaginez que nos cinq sens soient 300 fois plus fins. Plus que d'autre chose notre réalité dépend de nos cinq consciences et de nos émotions. La réalité est loin d'être telle qu'elle est réellement.

 

 

 

Un plaisir est d'autant plus assouvi si nous méritons cet assouvissement. Nous devons être des sportifs spirituels de haut niveau tel Ronaldo qui n'aurait jamais joué de sa vie s'il avait su qu'il gagnerait tous ses matchs.

 

 

 

Nous pouvons vivre dans deux mondes; le réel (1%) et le sublime (99%). Rapidement assouvir un désir nous plonge dans le réel. Partager ce même désir à 100%, nous fait passer dans le sublime où la jouissance est toujours extatique et longue.

 

 

 

Tout désir assouvi est vite suivi d'une insatisfaction profonde qui s'anéanti lors de l'assouvissement du désir suivant.Tout désir assouvi dans le Partage Véritable est suivi d'une satisfaction permanente du simple fait que nous en sommes la cause et non l'effet.

 

 

 

L'interdépendance, si commune aux spiritualités, concerne non seulement les formes et les phénomènes sur terre mais aussi sur la totalité de l'univers. C'est scientifiquement prouvé. On parle du Big Bang.

 

 

 

L'action vertueuse de ne pas tuer, va plus loin que de s'abstenir de tuer. C'est aussi encourager la vie, soutenir un malade en phase terminale, empêcher un suicide, encourager quelqu'un d'arrêter de fumer...

 

 

 

L'octuple sentier: vision juste, aspiration juste, parole juste, action juste, moyens de subsistance justes, effort juste, attention juste et concentration juste.

 

 

 

Nous sommes un vase rempli de lumière-sapience. Ne pas réagir a une situation négative pour soi (proaction), nous évite la réaction immédiate qui est toujours égotique. Voilà la sagesse.

 

 

 

Ne pas réagir face à une circonstance très positive pour nous en gardant pour soi tout le plaisir, mais plutôt en le partageant avec autrui, voilà comment laisser entrer un peu dans notre vie la lumière de l'illumination.

 

 

 

Aujourd'hui on vit mieux qu'il ya 2500 ans. En Inde, à cette époque les inégalités sociales étaient inimaginables. Le Bouddha historique mit en place une méthode pour beaucoup mieux vivre cela. De nos jours, elle fonctionne encore. De plus, on en a plus besoin qu'avant.

 

 

 

Mettre un symbole sur une religion théiste a toujours été une nécessité. Toute spiritualité n'a besoin que d'une activité mystique et contemplative.

 

 

 

Une idée est ultime apartir du moment où on s'y attache pas. L'attachement est toujours compulsif. Une idée peut vivre avec nous toute une vie. Seulement nos idées nous empêchent d'être libre. Et rien d'autre.

 

 

 

Tout bâti qui a accueilli une spiritualité garde "quantiquement" l'imprégnation d'une réalité ultime. Un concert c'est essentiellement du son. Cet événement sonore a une potentialité "mantrique". On en sort évidemment changé.

 

 

 

Tout phénomène apparaît et disparaît sans solution de continuité. Notre interprétation du résultat est conceptuelle. Cette interprétation est changeante aussi dans le temps. Et ce temps est un concept. Réaliser la vacuité est un début de nibana.

 

 

 

La pensée est très lié à notre sentiment d’exister. Au réveil, remarquez qu’il y a un éveil progressif de la conscience. Ensuite, réalisez que vous êtes dans un certain lieu, à un moment. Et c’est alors seulement qu’arrive la conscience du moi.

 

 

 

Notre imagination peut projeter 100 photos "compréhensibles" possibles de ce croquis. Notre égoïté fait la même chose face a un fait: elle nous dupe en nous proposant un croquis vague d'une réalité. On appelle cela un concept.

 

 

 

La colère, suivie de la dévalorisation de soi-même, est le plus mauvais facteur mental négatif. Il est primordial, le moins possible d'éprouver l'un, et de ne jamais tomber dans l'autre. En se dévalorisant notre vie est en danger.

 

 

 

L'iconographie d'une spiritualité est empreinte somme toute d'une certaine égoïté. Il faut l'utiliser pour fixer notre attention. Point.

 

 

 

Énergie, souffle vital, vīrya (pali), ch'i (chinois). Oubliez le mot matière. Ce que nous palpons, voyons et goûtons n'est fait que d'énergie. Les formes et les phénomènes ne sont formés que par des énergies changeantes dèslors pourquoi s'y atacher.

 

 

 

Considérez votre conscience comme une ombre vous poursuivant de renaissances en renaissances.

 

 

 

L’homme intelligent dont le renoncement procède de la vertu, qui n’éprouve pour sa tâche ni attraction ni aversion (dualité), sait pertinemment ce qu’est l’action. Bhavgad Gita

 

 

 

La notion de "goutte blanche indestructible" fait référence à la conscience qui passe de rennaissances en rennaissances lors de la mort et passage dans le bardo. Elle est "le chef d'orchestre" des souffles.

 

 

 

Dans les enseignements, l'écoute pure et ouverte est primordiale. Mais l'essentiel c'est d'appliquer cet enseignement et l'écarter s'il nous convient pas. Ne pas se contenter de suivre l'avis d'un groupe ou une tendance.

 

 

 

Nous devons considérer les gens, que nous les connaissions ou pas, comme faisant partie d'un ensemble : La Vie. L'amour inconditionnel est 1000 fois supérieur à l'amour filial. Il doit être purement bienveillant et sans attaches.

 

 

 

Le karma est la base la plus importante du bouddhisme. Tout de notre vie est régi par lui. Il nous suit de renaissances en renaissances. On peut renaître sous plus ou moins la même forme mais toujours avec la continuité de notre propre et même karma.

 

 

 

Notre égocentrisme nous fait voir les fautes des autres, alors que nous jetons un voile sur les nôtres

 

 

 

"Le refuge" (Bahgvad Gita). Tout comme le vent puissant qui souffle dans toutes les directions réside en permanence dans le ciel, comprends qu’en Moi résident tous les êtres créés.

 

 

 

Dans les pratiques des tantras, le pilon vajra symbolise une sagesse incassable et une nature semblable à celle de Bouddha.

 

 

 

Les moines du bouddhisme chinois, (mahayana) sont végétariens. Ceux du bouddhisme theravada cosomment la viande quand elle est offerte. Les autres fidèles du bouddhisme sont des consommateurs de chair animale.

 

 

 

L'interdépendance régit toute vie des formes et des phénomènes, non seulement sur terre mais dans tout le cosmos. C'est une loi universelle comme l'a démontré à plusieurs reprises la théorie quantique.

 

 

 

Lorsque vous citez la Bhagavad Gitâ ou la Bible ou quelque livre sacré chinois, vous n'êtes en train que de répéter ; c'est évident, n'est-ce pas ? Et ce que l'on répète n'est pas la vérité ; c'est un mensonge, car la vérité ne peut pas être répétée. » Krishnamurti.

 

 

 

L'homme vit simultanément dans deux mondes: celui du milieu familial et social, et celui du monde des symboles. Dans notre pensée, nous nous servons d'une grande variété de systèmes de symboles verbaux, sans lesquels nous n'aurions ni arts, ni sciences, ... bref pas même l'embryon d'une civilisation : nous serions des animaux. Krishnamurti

 

 

 

Une issue infranchissable dans la vie, un coup dur ou une situation malheureuse sont des phénomènes extérieurs à nous. Considerez-les comme des opportunités d'aller de l'avant en cherchant leurs sources d'illumination.

 

 

 

Le prana yoga est basé essentiellement sur la respiration et le souffle. On a démontré scientifiquement que le nez était en conection neurologique avec le cerveau et lié à son développement pendant toute la vie.

 

 

 

Prenez le temps de contempler l’offrande que représente votre plat. Puis, calmement, déployez votre respiration en appréciant les sensations qui émergent sans les juger. À chaque respiration, rentrez dans la douceur de recevoir un peu de la vie ainsi offerte par les aliments. Sophie Solère.

 

 

 

Mâra est une Déite enemie du Buddha. Elle l'empécha d'atteindre l'Eveil pendant un jour et une nuit. C'est parce que l'enseignement bouddhique dépeuple son royaume qu'elle vulait combattre le Buddha et ses disciples.

 

 

 

Amoghasidi: « Celui qui a accompli ce qui a du sens ». Il accomplit l'absence de crainte. Il est associé à l'agrégat purifié des formations, au rejet de la jalousie, à l'émergence de la sagesse de l'activité, à l'élément de l'air, et à la direction Nord.

 

 

 

Les récentes sciences de la contemplation expliquent scientifiquement ce que le bouddhisme conçût il y a 2500 ans. La méditation contemplative en agissant sur la conscience, transforme le cerveau et favorise positivement l'homéostasie.

 

 

 

Le Bouddha historique Gautama Sidharta conçoit que l'on ait un Dieux d'adoration. On peut se prosterner devant une icône de la Vierge Marie en adhérant au bouddhisme. Tout être vivant a la nature de Bouddha en lui.

 

 

 

Mettez votre attention, votre concentration et votre application sur n'importe quelle forme représant pour vous le Boudha Skayamouni. Même la contemplation d'un grain de riz peut vous faire atteindre

 

 

 

Melissa Da Costa: «... Schwabe a une vision paisible de la mort. Elle est représentée par une femme douce et bienveillante. La mort, pour Schwabe, est à la fois un espoir et un accomplissement...». La méditation sur la mort est une des plus belle.

 

 

 

Les Dix Chemins Vertueux: la capacité d'abandonner pour toujours l'acte de tuer, de voler, la mauvaise conduite, le mensonge, la discorde, la parole dure, les paroles frivoles, la convoitise, la méchanceté et les vues erronées.

 

 

 

L'ignorence ce n'est pas ignorer quelque chose intellectuellement. C'est ne pas concevoir que la souffrance est inévitable et fait partie de la vie. Elle est extérieur à nous et nous la resentos car nous l'intégrons dans notre conscience.

 

 

 

Il faut que l'attention (Sati), ne soit pas égotique. Ne pas se dire: « je suis en train de faire », « je suis en train de penser », « je suis en train de sentir », « je fais l'expérience de différentes choses ». Être attentif et point. Voilà Sati.

 

 

 

Les illusions projetées font paraître les formes et les phénomènes réels. Une même situation peut vous sembler dix fois différente sur dix fois vécue. L'égo joue... Tout apparaît tout disparaît. Voilà l'impermanence.

 

 

 

 

La possibilité d'illumination. Atteindre le nirvana. Arriver à la budéité. S'extraire totalement de l'égo. Vivre dans la vacuité. Developper la vue de l'intérieur. Tout humain peut y arriver pour le bien de tout les êtres.

 

 

 

Le nihilisme, ne désigne pas un refus de vivre. C’est en fait l’existence d’un monde des valeurs qui constitue le nihilisme. Il ne s’agit plus d’affirmer que la vie ne vaut rien, mais de soutenir que rien ne saurait valoir hors du monde. (R. P. Droit)

 

 

 

Est bouddhiste quiconque prend refuge dans les trois joyaux: le Buddha, son enseignement et sa communauté. (Dhammapada)

 

 

 

En contemplant, les distractions sont tellement nombreuses que même de se persuader d'avoir une bonne concentration c'est déjà une distraction. L'essentiel c'est de lâcher toutes les prises de l'égo.

 

 

 

Dans la réalité tantrique vous êtes le propre Buddha. Vous occupez le mandala. Vous recevez, vous étudiez et surtout, votre obligation la plus importante, vous aimez d'un amour désintéréssé tout être sur terre pour le bien de tout les êtres.

 

 

 

Le néant ce n'est pas rien. En supprimant les conceptions, le dualisme et l'égoïté il reste l'ainsité. Un vaste espace abordable par la vue juste des formes et des phénomènes. Où l'impermanence et l'interdépendence régit l'ainsité. Voilà le néant.

 

 

 

Prenez une pomme. Oubliez toutes les centaines de concepts que vous avez sur elle (couleur, goût, odeur, texture, appréciation, souvenirs, attentes, vécu,...). Mettez dessus que de la bienveillance compatissante. Comtemplez. Vous serez sur la voie de la réalité ultime de cette pomme. Impossible de générer de la souffrance sur ce fruit.

 

 

Le plus difficile c'est de voir que tout est souffrance. Même un événement positif peut l'être. L'origine de cette souffrance sont la colère, le désir, l'avidité et l'attachement à quelque chose que l'égo construit mais qui n'existe pas.

 

 

 

Il faut être dans l'être plûtot que dans le devenir. Dans le présent plûtot que dans le futur. Dans la comtemplation plûtot que dans l'action. Percevoir ce début de changement vous fait passer d'un point A dilué à un point B concentré.

 

 

 

 

Sans exclure le discernement rationnel, la délivrance bouddhique demeure inséparable d’une ascèse, d’un entraînement graduel et continu au détachement. Sapience (prajnâ) et activité intellectuelle ne se dissocient pas de la méditation et du recueillement (dhyâna).
Roger-Pol Droit.

 

 

 

 

Le respect vis-à-vis du guru, maître spirituel ou mentor, est par-dessus de toute personne. Par-dessus de nos proches, parents, conjoints ou enfants. Le Buddha veut que ce respect soit plus important que le respect envers lui.

 

 

 

 

Le Buddha Amitaba règne sur la Terre Pure Occidentale de la Béatitude.

 

 

Prendre refuge dans le Bouddha, le Dahrma et la Sangha est le premier acte à réaliser de façon autre que conceptuellement.

 

 

 

Le Bouddha historique Sidharta Gautama Tatagata Shakayamuni et ses cinq parèdres. Amitaba, Vairocana, Amogasidhi, Ratnasabava, Aksobia.

 

 

 

Il y a eu 32 Bouddhas. Le prochain sera Milarepa.

 

 

 

La goutte blanche indestructible voyage dans le bardo au moment de la mort. La rennaissance dépendra du karma. Les "contenants" disponibles sont divers.

 

 

Notre conscience oculaire, polluée par l'égo, nous fait voir toujours notre même reflet dans un mirroir. Nous changeons à chaque seconde comme tout phénomène ou forme. Avoir ça à l'esprit dérange notre égo.

 

 

L'avidité nourrit l'égo. Avec l'attachement qu'elle génère l'égoïté s'en racine dans notre conscience de façon importante. Notre liberté en est baffouée.

 

 

Il faut contempler une forme avec la motivation concomitante. Celle-ci est la motivation présente au moment même de l’accomplissement de l’activité. Elle perdure tant qu’une pensée opposée n’apparaît pas dans la conscience. Ainsi l'égo s'affaiblit.

 

 

La no dualidad no contempla ni sujeto ni objeto. Tirando de un hilo cuántico, toda forma y fenómeno se inserta en esa dimensión que es la vacuidad. Así es el tranta.

 

 

Les trois instructions supérieures.
L'instruction supérieure de l'éthique, l'instruction supérieure de la concentration, l'instruction supérieure de la sagesse.